Article très bien documenté, facile lire et apportant en même temps plein d'informations sur cette grande figure de Saint-Pierre. On a hâte de lire la suite.
Bien cordialement.
Bonjour, Vous publiez une photo d'un mariage qui m'interplle. En effet, l'accordéoniste à la casquette est la même personne que sur la photo de mariage de mes parents en 1932 à St-Pierre Quiberon, ma mère Gabrielle Le Port (née en 1909) étant de Kerhostin. Photo que je peux vous adresser. Je souhaiterais connaître le nom de ce musicien qui devait être présents à de nombreux mariages de la région. Ma cousine, Jeannine Rio-Pagnon m'avait indiqué son nom, mais je l'ai oublié. Merci d'avance.
Anne-Marie Boussin-Maréchal
Très bel article à travers les âges et les missions de cette pointe du Percho. Je suis également de ceux qui souhaitent la remise en état de cet édifice qui est un point marquant de l'histoire de la commune. Merci à monsieur Hillion et à toute l'équipe de KER 1856.
Elle se détérioreta encore plus vite avec des bandes d'imbéciles qui montent sur les murs pour se faire prendre en photo. J'ai "engueule" un groupe il y a un an. Mais rien n'y fait... je ne suis pas flic. La prochaine fois, je prends discrètement une photo et je la diffuse sur "les amis qui aiment Quiberon" sans leurs consentements bien sûr.
Sinon, merci, j'en ai appris beaucoup
Je trouve dommage que cette construction se dégrade au fil du temps. Sur la Ria d'Etel, les maisons des îlots de Nichtarguer et Nohic ont été rénovées (celle de Nohic grâce à un financement participatif, sauf erreur). J'ose imaginer un tel montage pour rénover celle de la pointe du Percho et qui redonnerait son lustre à cette bâtisse...
Excellent article, mon grand-père et mon père ont fait appel à MM. Maire dès les années 1950. Et j'ai plaisir à recroiser Bernard Maire à Kerhostin. Dommage pour ce village que tous les commerces aient disparu.
Philippe Le Corre
Toujours très intéressant. Je me souviens de monsieur Maire, lorsqu'il venait remplacer les lampes du téléviseur.
Nous attendions sa venue ma soeur et moi pour qu'il nous permette de voir "La vie des animaux" de Frédéric Rossif. A la lecture de votre article, nombre de souvenirs reviennent à ma mémoire. Nous allions le jeudi après midi chez M et Mme Armand Jiquel à Renaron voir notre feuilleton préféré " La Flêche Brisée".
Encore bravo à l'équipe de KER 1856.
Jean Pierre Le Duvéhat.
Merci Raymonde de nous transmettre l'histoire de Kerhostin, avec ces détails de la vie quotidienne qui la rende si vivante ! et Merci Armelle, de l'avoir retranscrit par écrit ! C'est très chouette ce projet de transmission ! merci
Super article très intéressant, avec toujours un petit mystère résistant sur cette maison que nous aimons tant mais qui chaque année se détériore un peu plus . En voie de disparition ?...Comme l'arche de Port Blanc.
Merci pour ces infos .
Bonne journée
Cordialement
Bonjour,
Dans la liste des commerces des années 50/70 vous avez oublié l’entreprise de plomberie chauffage de mon père Jean BIGAS-HERAS et dépôt de gaz tenu par ma mère Aimée Pascaline, ainsi que le chantier naval d’Henri Huard, et Marguerite son épouse,
Entreprises tous deux situées sur la gauche direction Penthievre.
Cordialement
J'aimais bien aller à l'épicerie de Mme Mahieu !!! on y trouvait de tout... et nous adorions ses camemberts, on en parle encore !!! C'est un peu notre madeleine de Proust... Au début de nos séjours à Kerhostin nous allions à le pension Saint Joseph, puis nous avons loué un été (2?) chez Mme Mahieu, derrière l'épicerie, dans la "cabane", l'entrée était derrière le mur le long de la route.
Ensuite ça a été en face de "La Chaloupe" chez Mme Korfmat... Que de souvenirs à Kerhostin !
Merci à Gaël et Françoise pour ce bel article sur Le Relais. Cela a été un réel plaisir de partager un peu d'histoire de Kerhostin. Merci à vous et à l'ensemble des membres de l'association pour ce travail de mémoire honorable.
André MAIRE
Merci pour vos commentaires. Voici quelques éléments;
En 1952, mes grands-parents quittent la presqu’île pour ouvrir une station-service à Quéven.
Ils reviennent à Saint-Pierre, en 1955 à la Distillerie.
Notre famille n'est donc plus plus sur la presqu’île pendant environ trois ans.
Sur les photos de famille de septembre 1955 prises devant "L'Entre-deux-Mers", on voit l'évolution par rapport aux photos de 1952 :
- le thonier n'est plus présent. Je ne sais où il a terminé sa carrière après avoir passé une quinzaine d'années hors de l'eau et subi l'usure du temps et de la guerre.
- le bâtiment en dur sans étage a laissé place à une construction avec étage et toit en ardoises et sur les murs apparaissent la nouvelle destination du bâtiment "Hôtel Restaurant - Le Relai - son bar le Thonier".
Excellent reportage, sans doute un des meilleurs. Cependant je suis resté sur ma faim à la fin.
J'aurais aimé connaître l'histoire du Thonier jusqu'à nos jours. A qui appartient cet établissement , maintenant ? comment s'est réalisée la transmission après les derniers propriétaires du reportage.
Merci à toute l'équipe de KER 1856.
9 saisons de 1998 à 2006, de vraiment beaux étés !!
J ai des souvenirs memorables avec toi Nicolas dans la vanette en livraison 😀
J espere que tu te portes bien ainsi que ta mère et ton père !
Et j ai aussi une grosse pensée pour tes grands parents !
La famille ROYRON occupait, dans les années 1900/1910, l'actuelle villa "LES FLOTS" (cad.AM1124).
Cette propriété se situe à l'extrémité sud de la plage de Kermahé au lieu-dit LE BEGO (du breton BEG, trad.pointe) qui englobe plusieurs villas dont celle des descendants de la famille de Célestin LE GLOHAEC.
Merci pour ce reportage que je viens de voir enfin quelques anciennes photos sur les commerces de Kerhostin que de souvenirs de vacances avec ma Grand-Mère encore un grand Merci.
Le "jeune François" est son neveu issu de germain François Enginger fils de Marie-Louise Le Glohaec et Maurice Enginger, sis villa le Bégo à Kermahé. Talie (diminutif de tata Emilie), sans descendance directe, lèguera Er Men Guen à François. La villa appartient toujours aux enfants de François.
Caludo contraction de Camille et Ludovic. Camille Alluard était l'époux de Marie Louise "Blanche" Le Gloahec, fille de Célestin, donc Camille était le beau-frère de Ludovic, tous deux directeurs associés de la double entreprise Le Glohaec : armateurs et industriels.
"Les ROYRON, installés au BEGO sur la plage de KERMAHE..."
De quel Bégo s'agit-il ? Je ne connais qu'un Bégo à Kermahé au 97 rue MDP, qui était propriété de mes grand-parents Maurice Enginger et Marie-Louise Le Glohaec (petite-fille de Célestin). S'agirait-il d'une location saisonnière ?
Grand merci à mon voisin Jean Luc, ce récit est passionnant et toujours instructif. La mémoire sur la vie autour de l’abattoir de Kerbourgnec me revient ainsi que la personnalité de la maman
de Jean luc que nous appelions « La grande Alice ». Le passé de Saint-Pierre nous révèle que la commune avait une âme et une particularité d’être une commune littorale, avec son abattoir.
( en plus avec les photos, c’est un article en or).
Encore merci à Jean Luc et à toute l’équipe de KER 1856
Nous sommes née la même année JEAN LUC, le 17 mars 1951 ,je m'appelle Yolande Bernery j'habite à KERNISCOP et j'ai eu presque la même vie que toi ,l'eau à la pompe ,lampe à pétrole, et tinette dans le jardin, que de bons souvenirs, nous n'avions rien mais quesqu'ont étaient heureux très très beau témoignage
Merci pour cet article.
Le plus beau dans cette histoire c'est que vous me permettez de découvrir une photo de mon grand père jeune (Adrien Evanno) sur son lieu de travail.
Merci de nous avoir partagé cette histoire.
Je suis contente de connaître l 'histoire de cette belle maison, habitant kergroix, je passais tous les jours devant pour aller à l'école, elle avait un magnifique rosier côté rue, je pouvais pas m 'empêcher de cueillir une rose en bouton pour l'offrir à ma mère.
Encore un immeuble face à la gare où je suis passé tous les jours de l'année scolaire et personne ne m'a jamais expliqué le pourquoi de cette construction
Maintenant, je sais.Merci KER1856
Merci encore une fois pour cette recherche dans le passé de la commune de Saint-Pierre Quiberon.
Je pensais que l’hôtel des deux mers était plus ancien que l’hostellerie des pins, et bien non….
L’hostellerie avait été construite en 1908 et l’hôtel des deux mers en 1923 .
La ligne téléphonique fut installée également à Penthièvre et l’hostellerie des pins fut la première abonnée, avec le n° 1, bien entendu.
Merci à l’association KER 1856, ainsi qu’à
Mme Jackie FRANCELET , Mme Marie Thérèse PETIT, Mme Anne LEMIRE, Mme Madeleine CLERC,
Monsieur Xavier MAUGIS et Monsieur Jean-Claude Martin.
les russes blancs du fort penthièvre faisaient partie de l'armée Vlasov armée de libération de la Russie a qui les Nazis avaient promis le retour dd'un tsar après la victoire . Les nazis ont la même promesse aux irlandais et aux bretons indépendantistes qui les ont malheureusement cru et ont donné des espions en irlande et des miliciens et des SS en Bretagne . Dans cette division de russes blancs du fort il y avait des russes et des ukrainiens anti soviétiques
J'ai toujours aimé lire ce que nous offre KER 1856. Ce récit, même décousu est une pépite. La Commune de Saint-Pierre ne doit pas oublié ses racines, ce travail est important pour celui qui veut aimer cette terre chérie de tous. Merci à KER 1856, sans elle, beaucoup de souvenirs non écrits sont voués à disparaître.
JP LE DUVEHAT
Bonjour et merci pour ce retour dans le passé.
Sur la deuxième photo, je reconnais ma grand tante, Maria, sa fille ma cousine Maria et mon cousin Bernard Guimond.
Maria était la soeur de ma grand mère, l'ainée des 3 filles Jannot, venait ensuite Léonie, et Marie Antoinette ma grand mère paternelle.
Ma grand mère Marie Antoinette Jannot est la seule à s'être "exilée" par son mariage avec mon grand père venu faire son service militaire au fort de Penthièvre.
Ma grand mère a toujours porté la coiffe et l'habit Breton (son surnom d"exilée" était : " la Bretonne ") Ma grande tante et ses 3 filles figurent sur différentes photos de mariage dans la Sarthe, leurs costumes étaient superbes, celui de ma grand mère maternelle Maria Matho était plus simple, étant de condition plus modeste.
Il faut savoir que dans le passé, les femme étaient toujours nommées par leur nom de jeune fille toute leur vie, ainsi, Maria ma grand tante est restée Maria Jannot, malgré son mariage (Leport), sa fille Maria Leport (Destré)., ma grand mère maternelle Maria Matho (Henrio), ma mère Suzanne Henrio (Guimond)... de quoi se perdre.
Bonjour et merci à tous pour vos commentaires. Je ne savais pas que Bernard Porte et Daniel Guimond était de la famille Jannot, nous avons encore beaucoup d'entretiens à faire pour recouper toutes ces informations... J'ai modifié le texte suite à la remarque de Xavier Maugis qui a vérifié auprès de Jackie Francelet.
Beau témoignage.
J'ai fait construire ma première maison juste derrière la ferme Le Guennec, les fouilles avaient été faites à proximité, l'autre côté de la rue. Dès que l'on remuait le sable, c’était des quantités de coquilles d'huitres phénoménales que l'on mettait à jour. Sous la maison, dans le vide sanitaire, il y avait de nombreux fragments de poteries. Au cours d'une extension à proximité, les maçons avaient mis à jour un squelette et des poteries, mais l'entrepreneur avait préféré cacher la découverte, pour ne pas voir les travaux bloqués.
Pierre Le Guennec avait un frère et une sœur. Tout d’abord Christine, Titine, figure emblématique qui habitait Renaron. Elle avait des vaches et en vivait. Elle contait à merveille la légende des moines rouges des Birvideaux. Mes souvenirs d'elle vont surtout... au réglisse qu'elle avait dans son jardin.
Son frère Jean habitait la maison attenante de celle de sa sœur. Marié à Julienne Kerzérho c’était le seul de la famille à s'être tourné vers la mer. Son épouse est décédée au cours de la guerre de la tuberculose. Ils avaient un fils prénommé Jean. Remarié après la guerre avec Madeleine Moello, (le petit bistrot, en haut de la rue de Renaron) ils eurent un fils, Joël.
Jean Le Guennec est mort peu après la guerre, asphyxié par les émanations de gaz du moteur de son bateau. J'ai une photo de ce bateau amarré dans le port de Portivy après sa mort, un joli sloup.
Bonjour et merci, pour ces récits passionnants.
Le capitaine Alexis Jannot était le frère de ma grand mère Antoinette Jannot. Leur père, Vincent Louis (1841-1893) est mort noyé suite au chavirage de son bateau, au large de Portivy, entre Téviec et basse Lédan.
Jusqu'aux années 50, le nom du lieu du naufrage était toujours utilisé par les pêcheurs comme marque, sous le nom de Poul Jannot.
Comme madame Jackie Francelet, j'étais à l'école de Keraude pendant la guerre, peut être se souvient elle de ce jour ou les soeurs nous avaient fait sortir de l'école pour regarder le long convoi qui passait sur la route en direction de Kerhostin . A cette époque, il n'y avait ni arbres ni constructions, et on pouvait voir ces gens à pieds jusqu'à l'entrée du village. Ces gens quittaient la presqu'ile avant la fermeture du Bégo par les Allemands, c'était le début de la "poche".
J'étais plus jeune que madame Francelet, mais cet épisode m'a marqué.
Il y eut d'autres évacuations par la suite, mais par mer sous pavillon de la croix rouge, à bord du Samouraï, mais c'est une autre histoire..
En fait le premier propriétaire en 1908 de l'hôtellerie des Pins était Robert Doyard de Lamotte. Il est peu probable qu'il ait vendu son "relais de chasse" à la comtesse de la Chevasnerie avant 1911. Il est plus vraisemblable que la comtesse était une hôte de marque de l'hôtel.
Bonjour,
Bernard Porte cousin de Jacky Francelet , par les Mariage et les Le Cam , ma grand mère était Marie Rufine Le Cam qui avait épousé Louis Mariage. Je garde le souvenir d'un mois d'août passé chez mes cousines, à l'Hostellerie des Pins, ce devait être en 1956 ou 57. Nous couchions au grenier car les chambres étaient réservées aux touristes! Ce fut un été merveilleux d'autant que le copain de Jacky, Jean Pierre Gross, qu'elle épousera plus tard, avait une voiture !!! une petite MG , si mes souvenirs sont fidèles. Balades, jeux de cartes , nous "bridgions" sur la terrasse de l'Hostellerie !Nous nous sommes retrouvés à Paris quelques semaines plus tard .J'ai gardé précieusement quelques photos de cet été régenté par tante Lisette Jannot .
Des gènes familiaux expliquent sans doute que ma mère Elizabeth et sa soeur Marie Josèphe exploitèrent à Nantes et à La Baule des Hôtels à l'image de leurs cousins Jannot , saga contée par ailleurs par Martine "la Conteuse".
Marie, Rosalie RICHARD, (1837-1913) dont j'ai une photo, est la fille de Marie Vincente (1815-1900), elle même fille de :
Antoine RICHARD (1768-1835) cabaretier à St Pierre, époux de Marie Sainte EZANNO (1776-1861)
Marie Sainte est la sœur de Marie Françoise (1774-1853) épouse LE BIDOLEC, elle même aïeule directe de mon épouse Roselyne (nièce d'Alice du café du port à Portivy)
Des ancêtres de cette famille sur la presqu'ile, j'en ai jusqu'en 1619 !
Commentaire posté par Joël Tanguy sur l’article Maxime Maufra de Pont-Aven à St Pierre Quiberon
Posté le 08/03/2024 09:47
Article très bien documenté, facile lire et apportant en même temps plein d'informations sur cette grande figure de Saint-Pierre. On a hâte de lire la suite. Bien cordialement.
Commentaire posté par MADEC gilles sur l’article Maxime Maufra de Pont-Aven à St Pierre Quiberon
Posté le 27/02/2024 18:54
Merci pour cet article très intéressant J'attends la suite avec impatience ! Bien cordialement.
Commentaire posté par Maréchal sur l’article En remontant le temps -Généalogie
Posté le 22/02/2024 18:38
Bonjour, Vous publiez une photo d'un mariage qui m'interplle. En effet, l'accordéoniste à la casquette est la même personne que sur la photo de mariage de mes parents en 1932 à St-Pierre Quiberon, ma mère Gabrielle Le Port (née en 1909) étant de Kerhostin. Photo que je peux vous adresser. Je souhaiterais connaître le nom de ce musicien qui devait être présents à de nombreux mariages de la région. Ma cousine, Jeannine Rio-Pagnon m'avait indiqué son nom, mais je l'ai oublié. Merci d'avance. Anne-Marie Boussin-Maréchal
Commentaire posté par jean pierre le duvehat sur l’article Il était une fois « Le Percho »
Posté le 21/02/2024 09:29
Très bel article à travers les âges et les missions de cette pointe du Percho. Je suis également de ceux qui souhaitent la remise en état de cet édifice qui est un point marquant de l'histoire de la commune. Merci à monsieur Hillion et à toute l'équipe de KER 1856.
Commentaire posté par Jean Christophe Lucas sur l’article Il était une fois « Le Percho »
Posté le 19/02/2024 14:06
Elle se détérioreta encore plus vite avec des bandes d'imbéciles qui montent sur les murs pour se faire prendre en photo. J'ai "engueule" un groupe il y a un an. Mais rien n'y fait... je ne suis pas flic. La prochaine fois, je prends discrètement une photo et je la diffuse sur "les amis qui aiment Quiberon" sans leurs consentements bien sûr. Sinon, merci, j'en ai appris beaucoup
Commentaire posté par Le Port Laurence sur l’article Il était une fois « Le Percho »
Posté le 19/02/2024 13:24
Et pourquoi Saint Pierre et Quiberon ne font pas de restaurations de ces deux sites ???
Commentaire posté par FONCEZ sur l’article Il était une fois « Le Percho »
Posté le 18/02/2024 20:18
Je trouve dommage que cette construction se dégrade au fil du temps. Sur la Ria d'Etel, les maisons des îlots de Nichtarguer et Nohic ont été rénovées (celle de Nohic grâce à un financement participatif, sauf erreur). J'ose imaginer un tel montage pour rénover celle de la pointe du Percho et qui redonnerait son lustre à cette bâtisse...
Commentaire posté par Le Corre sur l’article Une entreprise d’électricité à Kerhostin
Posté le 12/02/2024 00:31
Excellent article, mon grand-père et mon père ont fait appel à MM. Maire dès les années 1950. Et j'ai plaisir à recroiser Bernard Maire à Kerhostin. Dommage pour ce village que tous les commerces aient disparu. Philippe Le Corre
Commentaire posté par Le Port Laurence sur l’article Une entreprise d’électricité à Kerhostin
Posté le 09/02/2024 16:18
Quel adorable Monsieur !!!
Commentaire posté par jean pierre le duvehat sur l’article Une entreprise d’électricité à Kerhostin
Posté le 09/02/2024 15:04
Toujours très intéressant. Je me souviens de monsieur Maire, lorsqu'il venait remplacer les lampes du téléviseur. Nous attendions sa venue ma soeur et moi pour qu'il nous permette de voir "La vie des animaux" de Frédéric Rossif. A la lecture de votre article, nombre de souvenirs reviennent à ma mémoire. Nous allions le jeudi après midi chez M et Mme Armand Jiquel à Renaron voir notre feuilleton préféré " La Flêche Brisée". Encore bravo à l'équipe de KER 1856. Jean Pierre Le Duvéhat.
Commentaire posté par Françoise Zainal-Rougeau sur l’article Une entreprise d’électricité à Kerhostin
Posté le 08/02/2024 20:15
Merci pour cet article. je suis native de Port Haliguen et je retrouve à Kerhostin l'esprit qui n'existe malheureusement plus dans mon quartier natal
Commentaire posté par Françoise Zainal-Rougeau sur l’article Le Relais à Kerhostin
Posté le 08/02/2024 20:13
oui vraiment passionnant a lire
Commentaire posté par Isabelle Guillaume sur l’article Raymonde RIO de Kerhostin
Posté le 04/02/2024 19:19
Merci Raymonde de nous transmettre l'histoire de Kerhostin, avec ces détails de la vie quotidienne qui la rende si vivante ! et Merci Armelle, de l'avoir retranscrit par écrit ! C'est très chouette ce projet de transmission ! merci
Commentaire posté par DUCRUIX sur l’article Il était une fois « Le Percho »
Posté le 30/01/2024 10:37
Super article très intéressant, avec toujours un petit mystère résistant sur cette maison que nous aimons tant mais qui chaque année se détériore un peu plus . En voie de disparition ?...Comme l'arche de Port Blanc. Merci pour ces infos . Bonne journée Cordialement
Commentaire posté par Pascale Bigas-Heras sur l’article Kerhostin dans les années 50-70
Posté le 24/01/2024 01:37
Bonjour, Dans la liste des commerces des années 50/70 vous avez oublié l’entreprise de plomberie chauffage de mon père Jean BIGAS-HERAS et dépôt de gaz tenu par ma mère Aimée Pascaline, ainsi que le chantier naval d’Henri Huard, et Marguerite son épouse, Entreprises tous deux situées sur la gauche direction Penthievre. Cordialement
Commentaire posté par Vallon sur l’article Kerhostin dans les années 50-70
Posté le 11/01/2024 15:52
J'aimais bien aller à l'épicerie de Mme Mahieu !!! on y trouvait de tout... et nous adorions ses camemberts, on en parle encore !!! C'est un peu notre madeleine de Proust... Au début de nos séjours à Kerhostin nous allions à le pension Saint Joseph, puis nous avons loué un été (2?) chez Mme Mahieu, derrière l'épicerie, dans la "cabane", l'entrée était derrière le mur le long de la route. Ensuite ça a été en face de "La Chaloupe" chez Mme Korfmat... Que de souvenirs à Kerhostin !
Commentaire posté par Elisabeth FRUGIER sur l’article Le Relais à Kerhostin
Posté le 09/01/2024 09:31
Passionnant
Commentaire posté par Elisabeth FRUGIER sur l’article Raymonde RIO de Kerhostin
Posté le 09/01/2024 09:30
Merci de ces souvenirs partagés.
Commentaire posté par MAIRE sur l’article Le Relais à Kerhostin
Posté le 29/12/2023 21:24
Merci à Gaël et Françoise pour ce bel article sur Le Relais. Cela a été un réel plaisir de partager un peu d'histoire de Kerhostin. Merci à vous et à l'ensemble des membres de l'association pour ce travail de mémoire honorable. André MAIRE
Commentaire posté par Joel TANGUY sur l’article Louis et Marie Bourgueil : « l’Entre deux Mers » et son Thonier
Posté le 16/12/2023 10:48
Merci pour vos commentaires. Voici quelques éléments; En 1952, mes grands-parents quittent la presqu’île pour ouvrir une station-service à Quéven. Ils reviennent à Saint-Pierre, en 1955 à la Distillerie. Notre famille n'est donc plus plus sur la presqu’île pendant environ trois ans. Sur les photos de famille de septembre 1955 prises devant "L'Entre-deux-Mers", on voit l'évolution par rapport aux photos de 1952 : - le thonier n'est plus présent. Je ne sais où il a terminé sa carrière après avoir passé une quinzaine d'années hors de l'eau et subi l'usure du temps et de la guerre. - le bâtiment en dur sans étage a laissé place à une construction avec étage et toit en ardoises et sur les murs apparaissent la nouvelle destination du bâtiment "Hôtel Restaurant - Le Relai - son bar le Thonier".
Commentaire posté par jean pierre le duvehat sur l’article Louis et Marie Bourgueil : « l’Entre deux Mers » et son Thonier
Posté le 15/12/2023 14:28
Excellent reportage, sans doute un des meilleurs. Cependant je suis resté sur ma faim à la fin. J'aurais aimé connaître l'histoire du Thonier jusqu'à nos jours. A qui appartient cet établissement , maintenant ? comment s'est réalisée la transmission après les derniers propriétaires du reportage. Merci à toute l'équipe de KER 1856.
Commentaire posté par Angelique Le MELEDO (famille rodet de portivy) sur l’article Louis et Marie Bourgueil : « l’Entre deux Mers » et son Thonier
Posté le 11/12/2023 19:17
Merci
Commentaire posté par Le Nouen Joël sur l’article Louis et Marie Bourgueil : « l’Entre deux Mers » et son Thonier
Posté le 11/12/2023 13:51
Superbe enquête, MERCI !
Commentaire posté par Samuel T sur l’article Établissement LECHAT – Les Viviers Portivyens
Posté le 10/12/2023 22:58
9 saisons de 1998 à 2006, de vraiment beaux étés !! J ai des souvenirs memorables avec toi Nicolas dans la vanette en livraison 😀 J espere que tu te portes bien ainsi que ta mère et ton père ! Et j ai aussi une grosse pensée pour tes grands parents !
Commentaire posté par Gouésin Pierre sur l’article La longère de Kermahé
Posté le 27/11/2023 18:28
La famille ROYRON occupait, dans les années 1900/1910, l'actuelle villa "LES FLOTS" (cad.AM1124). Cette propriété se situe à l'extrémité sud de la plage de Kermahé au lieu-dit LE BEGO (du breton BEG, trad.pointe) qui englobe plusieurs villas dont celle des descendants de la famille de Célestin LE GLOHAEC.
Commentaire posté par Cc sur l’article La Pension LE BLEVEC, Ker Marcelle et Ker Bieuzy
Posté le 27/11/2023 13:03
Super, j’ai connu le premier étage quand mon père louait, il y’a plus de dix ans, je me souviens d’une grande salle de bain… merci.
Commentaire posté par huguette bonnec sur l’article Kerhostin dans les années 50-70
Posté le 23/11/2023 17:44
Merci pour ce reportage que je viens de voir enfin quelques anciennes photos sur les commerces de Kerhostin que de souvenirs de vacances avec ma Grand-Mère encore un grand Merci.
Commentaire posté par Huart Claude sur l’article Marthe Delpirou: une femme extra-ordinaire
Posté le 23/11/2023 12:28
Le "jeune François" est son neveu issu de germain François Enginger fils de Marie-Louise Le Glohaec et Maurice Enginger, sis villa le Bégo à Kermahé. Talie (diminutif de tata Emilie), sans descendance directe, lèguera Er Men Guen à François. La villa appartient toujours aux enfants de François.
Commentaire posté par Huart Claude sur l’article Le « Cornail » et l’usine de Célestin Le Gloahec
Posté le 23/11/2023 10:16
Caludo contraction de Camille et Ludovic. Camille Alluard était l'époux de Marie Louise "Blanche" Le Gloahec, fille de Célestin, donc Camille était le beau-frère de Ludovic, tous deux directeurs associés de la double entreprise Le Glohaec : armateurs et industriels.
Commentaire posté par Huart Claude sur l’article La longère de Kermahé
Posté le 23/11/2023 09:59
"Les ROYRON, installés au BEGO sur la plage de KERMAHE..." De quel Bégo s'agit-il ? Je ne connais qu'un Bégo à Kermahé au 97 rue MDP, qui était propriété de mes grand-parents Maurice Enginger et Marie-Louise Le Glohaec (petite-fille de Célestin). S'agirait-il d'une location saisonnière ?
Commentaire posté par Catherine sur l’article Un témoignage de Jean-Luc Potevin sur les métiers de ses parents
Posté le 20/11/2023 12:10
magnifique reportage, et plein de souvenirs aussi. Marci @Jean-Luc
Commentaire posté par jean pierre le duvehat sur l’article Un témoignage de Jean-Luc Potevin sur les métiers de ses parents
Posté le 13/11/2023 10:17
Grand merci à mon voisin Jean Luc, ce récit est passionnant et toujours instructif. La mémoire sur la vie autour de l’abattoir de Kerbourgnec me revient ainsi que la personnalité de la maman de Jean luc que nous appelions « La grande Alice ». Le passé de Saint-Pierre nous révèle que la commune avait une âme et une particularité d’être une commune littorale, avec son abattoir. ( en plus avec les photos, c’est un article en or). Encore merci à Jean Luc et à toute l’équipe de KER 1856
Commentaire posté par Le Dortz Yolande sur l’article Un témoignage de Jean-Luc Potevin sur les métiers de ses parents
Posté le 07/11/2023 18:55
Nous sommes née la même année JEAN LUC, le 17 mars 1951 ,je m'appelle Yolande Bernery j'habite à KERNISCOP et j'ai eu presque la même vie que toi ,l'eau à la pompe ,lampe à pétrole, et tinette dans le jardin, que de bons souvenirs, nous n'avions rien mais quesqu'ont étaient heureux très très beau témoignage
Commentaire posté par Layec sur l’article Un témoignage de Jean-Luc Potevin sur les métiers de ses parents
Posté le 06/11/2023 11:15
Merci pour cet article. Le plus beau dans cette histoire c'est que vous me permettez de découvrir une photo de mon grand père jeune (Adrien Evanno) sur son lieu de travail. Merci de nous avoir partagé cette histoire.
Commentaire posté par Angelique Le MELEDO (famille rodet de portivy) sur l’article Un témoignage de Jean-Luc Potevin sur les métiers de ses parents
Posté le 05/11/2023 11:12
De très beaux souvenirs, merci Jean Luc pour cette contribution.
Commentaire posté par Juhel sur l’article Un témoignage de Jean-Luc Potevin sur les métiers de ses parents
Posté le 05/11/2023 09:09
Passionant
Commentaire posté par FRUGIER Elisabeth sur l’article Un témoignage de Jean-Luc Potevin sur les métiers de ses parents
Posté le 05/11/2023 08:39
Incroyable vie , passionnant. Très très instructif. Merci .
Commentaire posté par Le berrigaud sur l’article La Pension LE BLEVEC, Ker Marcelle et Ker Bieuzy
Posté le 27/10/2023 07:16
Je suis contente de connaître l 'histoire de cette belle maison, habitant kergroix, je passais tous les jours devant pour aller à l'école, elle avait un magnifique rosier côté rue, je pouvais pas m 'empêcher de cueillir une rose en bouton pour l'offrir à ma mère.
Commentaire posté par Le duvehat sur l’article La Pension LE BLEVEC, Ker Marcelle et Ker Bieuzy
Posté le 21/10/2023 11:49
Encore un immeuble face à la gare où je suis passé tous les jours de l'année scolaire et personne ne m'a jamais expliqué le pourquoi de cette construction Maintenant, je sais.Merci KER1856
Commentaire posté par jean pierre le duvehat sur l’article Une jeunesse pendant la guerre
Posté le 13/10/2023 18:13
Merci encore une fois pour cette recherche dans le passé de la commune de Saint-Pierre Quiberon. Je pensais que l’hôtel des deux mers était plus ancien que l’hostellerie des pins, et bien non…. L’hostellerie avait été construite en 1908 et l’hôtel des deux mers en 1923 . La ligne téléphonique fut installée également à Penthièvre et l’hostellerie des pins fut la première abonnée, avec le n° 1, bien entendu. Merci à l’association KER 1856, ainsi qu’à Mme Jackie FRANCELET , Mme Marie Thérèse PETIT, Mme Anne LEMIRE, Mme Madeleine CLERC, Monsieur Xavier MAUGIS et Monsieur Jean-Claude Martin.
Commentaire posté par Rougeau Zainal Françoise sur l’article Une jeunesse pendant la guerre
Posté le 11/10/2023 16:51
les russes blancs du fort penthièvre faisaient partie de l'armée Vlasov armée de libération de la Russie a qui les Nazis avaient promis le retour dd'un tsar après la victoire . Les nazis ont la même promesse aux irlandais et aux bretons indépendantistes qui les ont malheureusement cru et ont donné des espions en irlande et des miliciens et des SS en Bretagne . Dans cette division de russes blancs du fort il y avait des russes et des ukrainiens anti soviétiques
Commentaire posté par jean pierre le duvehat sur l’article Une vie à Saint-Pierre Quiberon, Stéphane Le Rol, enfant du Pays
Posté le 08/10/2023 16:00
J'ai toujours aimé lire ce que nous offre KER 1856. Ce récit, même décousu est une pépite. La Commune de Saint-Pierre ne doit pas oublié ses racines, ce travail est important pour celui qui veut aimer cette terre chérie de tous. Merci à KER 1856, sans elle, beaucoup de souvenirs non écrits sont voués à disparaître. JP LE DUVEHAT
Commentaire posté par Daniel Guimond sur l’article Kerhostin dans les années 50-70
Posté le 06/10/2023 18:39
Bonjour et merci pour ce retour dans le passé. Sur la deuxième photo, je reconnais ma grand tante, Maria, sa fille ma cousine Maria et mon cousin Bernard Guimond. Maria était la soeur de ma grand mère, l'ainée des 3 filles Jannot, venait ensuite Léonie, et Marie Antoinette ma grand mère paternelle. Ma grand mère Marie Antoinette Jannot est la seule à s'être "exilée" par son mariage avec mon grand père venu faire son service militaire au fort de Penthièvre. Ma grand mère a toujours porté la coiffe et l'habit Breton (son surnom d"exilée" était : " la Bretonne ") Ma grande tante et ses 3 filles figurent sur différentes photos de mariage dans la Sarthe, leurs costumes étaient superbes, celui de ma grand mère maternelle Maria Matho était plus simple, étant de condition plus modeste. Il faut savoir que dans le passé, les femme étaient toujours nommées par leur nom de jeune fille toute leur vie, ainsi, Maria ma grand tante est restée Maria Jannot, malgré son mariage (Leport), sa fille Maria Leport (Destré)., ma grand mère maternelle Maria Matho (Henrio), ma mère Suzanne Henrio (Guimond)... de quoi se perdre.
Commentaire posté par Florence Beaud sur l’article Une jeunesse pendant la guerre
Posté le 03/10/2023 17:16
Bonjour et merci à tous pour vos commentaires. Je ne savais pas que Bernard Porte et Daniel Guimond était de la famille Jannot, nous avons encore beaucoup d'entretiens à faire pour recouper toutes ces informations... J'ai modifié le texte suite à la remarque de Xavier Maugis qui a vérifié auprès de Jackie Francelet.
Commentaire posté par Daniel Guimond sur l’article La famille Le Guennec fête le centenaire de la ferme de « Port Blanc »
Posté le 02/10/2023 20:48
Beau témoignage. J'ai fait construire ma première maison juste derrière la ferme Le Guennec, les fouilles avaient été faites à proximité, l'autre côté de la rue. Dès que l'on remuait le sable, c’était des quantités de coquilles d'huitres phénoménales que l'on mettait à jour. Sous la maison, dans le vide sanitaire, il y avait de nombreux fragments de poteries. Au cours d'une extension à proximité, les maçons avaient mis à jour un squelette et des poteries, mais l'entrepreneur avait préféré cacher la découverte, pour ne pas voir les travaux bloqués. Pierre Le Guennec avait un frère et une sœur. Tout d’abord Christine, Titine, figure emblématique qui habitait Renaron. Elle avait des vaches et en vivait. Elle contait à merveille la légende des moines rouges des Birvideaux. Mes souvenirs d'elle vont surtout... au réglisse qu'elle avait dans son jardin. Son frère Jean habitait la maison attenante de celle de sa sœur. Marié à Julienne Kerzérho c’était le seul de la famille à s'être tourné vers la mer. Son épouse est décédée au cours de la guerre de la tuberculose. Ils avaient un fils prénommé Jean. Remarié après la guerre avec Madeleine Moello, (le petit bistrot, en haut de la rue de Renaron) ils eurent un fils, Joël. Jean Le Guennec est mort peu après la guerre, asphyxié par les émanations de gaz du moteur de son bateau. J'ai une photo de ce bateau amarré dans le port de Portivy après sa mort, un joli sloup.
Commentaire posté par Daniel Guimond sur l’article Une jeunesse pendant la guerre
Posté le 02/10/2023 20:04
Bonjour et merci, pour ces récits passionnants. Le capitaine Alexis Jannot était le frère de ma grand mère Antoinette Jannot. Leur père, Vincent Louis (1841-1893) est mort noyé suite au chavirage de son bateau, au large de Portivy, entre Téviec et basse Lédan. Jusqu'aux années 50, le nom du lieu du naufrage était toujours utilisé par les pêcheurs comme marque, sous le nom de Poul Jannot. Comme madame Jackie Francelet, j'étais à l'école de Keraude pendant la guerre, peut être se souvient elle de ce jour ou les soeurs nous avaient fait sortir de l'école pour regarder le long convoi qui passait sur la route en direction de Kerhostin . A cette époque, il n'y avait ni arbres ni constructions, et on pouvait voir ces gens à pieds jusqu'à l'entrée du village. Ces gens quittaient la presqu'ile avant la fermeture du Bégo par les Allemands, c'était le début de la "poche". J'étais plus jeune que madame Francelet, mais cet épisode m'a marqué. Il y eut d'autres évacuations par la suite, mais par mer sous pavillon de la croix rouge, à bord du Samouraï, mais c'est une autre histoire..
Commentaire posté par MAUGIS sur l’article Une jeunesse pendant la guerre
Posté le 30/09/2023 15:31
En fait le premier propriétaire en 1908 de l'hôtellerie des Pins était Robert Doyard de Lamotte. Il est peu probable qu'il ait vendu son "relais de chasse" à la comtesse de la Chevasnerie avant 1911. Il est plus vraisemblable que la comtesse était une hôte de marque de l'hôtel.
Commentaire posté par bernard porte sur l’article Une jeunesse pendant la guerre
Posté le 30/09/2023 12:57
Bonjour, Bernard Porte cousin de Jacky Francelet , par les Mariage et les Le Cam , ma grand mère était Marie Rufine Le Cam qui avait épousé Louis Mariage. Je garde le souvenir d'un mois d'août passé chez mes cousines, à l'Hostellerie des Pins, ce devait être en 1956 ou 57. Nous couchions au grenier car les chambres étaient réservées aux touristes! Ce fut un été merveilleux d'autant que le copain de Jacky, Jean Pierre Gross, qu'elle épousera plus tard, avait une voiture !!! une petite MG , si mes souvenirs sont fidèles. Balades, jeux de cartes , nous "bridgions" sur la terrasse de l'Hostellerie !Nous nous sommes retrouvés à Paris quelques semaines plus tard .J'ai gardé précieusement quelques photos de cet été régenté par tante Lisette Jannot . Des gènes familiaux expliquent sans doute que ma mère Elizabeth et sa soeur Marie Josèphe exploitèrent à Nantes et à La Baule des Hôtels à l'image de leurs cousins Jannot , saga contée par ailleurs par Martine "la Conteuse".
Commentaire posté par Quintin Sylvie sur l’article Une vie à Saint-Pierre Quiberon, Stéphane Le Rol, enfant du Pays
Posté le 25/09/2023 18:00
Merci beaucoup pour ton témoignage très instructif Stéphane... merci egalement à l association Ker 1856 pour ce partage...
Commentaire posté par Gerard MOLTER sur l’article Une vie à Saint-Pierre Quiberon, Stéphane Le Rol, enfant du Pays
Posté le 25/09/2023 15:46
Marie, Rosalie RICHARD, (1837-1913) dont j'ai une photo, est la fille de Marie Vincente (1815-1900), elle même fille de : Antoine RICHARD (1768-1835) cabaretier à St Pierre, époux de Marie Sainte EZANNO (1776-1861) Marie Sainte est la sœur de Marie Françoise (1774-1853) épouse LE BIDOLEC, elle même aïeule directe de mon épouse Roselyne (nièce d'Alice du café du port à Portivy) Des ancêtres de cette famille sur la presqu'ile, j'en ai jusqu'en 1619 !