Raymonde RIO de Kerhostin
Raymonde RIO de Kerhostin se souvient de se souvient de sa jeunesse pendant les années 50-70.
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Raymonde RIO de Kerhostin se souvient de se souvient de sa jeunesse pendant les années 50-70.
Pierre Gouesin nous raconte une histoire de familles écrite au féminin pluriel à la ferme de Kermahé « Ty Izel » de 1843 à nos jours
Joël Tanguy un des petits fils de Louis et Marie Bourgueil nous raconte cette aventure sur l’isthme de Penthièvre , celle de cette famille de 6 enfants de 1934 à 1952
Entre l’abattoir et le cimetière de Saint Pierre, les parents de Jean Luc occupaient des métiers bien singuliers
Daniel Guimond nous apprend qu’un lavoir sur la côte de Portivy est aujourd’hui disparu
Peu de personnes connaissent de nos jours l’histoire de ce bâtiment, promis à la destruction. Il était temps de rendre hommage à ses constructeurs,
Mme Jackie Francelet se souvient de la guerre et nous raconte l’histoire de l’Hostellerie des Pins à Penthièvre qui appartenait à sa grand-mère puis à sa mère.
Mme MT Petit nous parle de l’hôtel des Deux Mers construit par son grand-père.
Stéphane Le Rol, Saint Pierrois, retrace avec pudeur sa vie ainsi que la vie de ses aïeuls.
Quelle brillante idée, celle d’un chercheur Vannetais, de pratiquer une culture ancestrale ici, à Kerhostin.
Cet article est le premier d’une série sur les commerces du bourg de Saint-Pierre-Quiberon au 20ème siècle. On trouvait de tout à cette époque.
La famille LE GUENNEC nous dévoile 100 ans d’histoire de leur ferme de « Port Blanc » Avant 1923, nous avons d’autres témoignages de cette exploitation.
La famille LECHAT a créé et géré les Viviers Portivyens sur trois générations Jules, Pierre puis Dominique
Mme Marcelle KERMORVANT, Saint-Pierroise aux 96 printemps, nous a confié avec modestie et pudeur des bouts de sa vie passée.
Les pages de l’album familial de cette doyenne, dont la principale distraction fut le travail, nous livrent ses souvenirs d’écolière, de petite main dans les champs, d’employée de maison à Paris puis d’épouse et de mère au foyer à Keraud.
Bien avant toutes les concessions automobiles actuelles, le garagiste était l’assurance d’une réparation rapide et efficace.
Vous souvenez-vous du garage Périon qui se trouvait rue Curie ? Et de Mme Périon mère et de sa boutique de couture ?
L’élection des Reines de pays. La Presqu’île de Quiberon n’a pas dérogé à cette fête. Il s’agissait d’une grande fête avec défilé de chars décorés et comité pour l’élection des Reines.
Sur cette photo : La Reine de 1948, Melle HELLEC (au centre) et ses Demoiselles d’Honneur
La récolte du goémon, oubliée de nos jours, était pourtant une activité importante de la population de la presqu’ile de Quiberon et des cantons environnants. Le goémon récolté et brûlé permettait en partie l’approvisionnement en soude de l’usine d’iode du Port d’Orange mais aussi bien d’autres utilisations.
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Le saviez vous ? le village de Saint-Pierre n’existe pas.